Le Zen, ça n’a pas de prix !

Le Zen ne saurait être un objet marchand de consommation courante ou un simple produit de bien-être.

L'argent déshumanise les relations de partage. Le candidat à l'inscription ne devrait pas avoir à soumettre son choix à des conditions pécuniaires.
C’est pour cela que le montant de l’inscription doit être environ égal à ce que le participant aurait dépensé en restant chez lui pour y mener une vie simple.

Pour les organisateurs et pour les participants, l'engagement tant matériel que spirituel résulte du don désintéressé, de l’aide aux autres et du partage (bodhisattva).

Le Zen ne se vit pleinement pour le participant, que dans une forte énergie d’investissement, vis-à-vis de lui-même, des autres et du cosmos. Dans ces conditions, le zen permet des échanges authentiques et forts, pleins de l’énergie Bodaishin.

Le participant, sentant qu'il a beaucoup reçu durant la Sesshin, ne regrettera pas ce qu'il a donné, sans pour autant se sentir redevable. Quelqu'un qui sentirait que vraiment le zen « ce n'est pas son truc ! », devrait lui aussi ne rien regretter de son expérience du Zen.

Celui qui a goûté la saveur du Zen, devrait pourvoir, s’il le souhaite, faire un don dans l'urne à Fuse, sans calculer ce qu’il a déjà donné financièrement.

Le zen n’est pas un moyen d'enrichissement matériel pour celui qui en propose la pratique.

S'il reste un excédent à la couverture des frais de Sesshin (par exemple en été quand on ne chauffe pas), ce montant est réinvesti dans des choses directement nécessaires et utiles à la pratique, telles que l’entretien des locaux.

ça n’a pas de prix

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